Rencontre imprévu [PV Edward]

J'étais dans la forêt assis sur un petit rocher , divaguant dans mon esprit ,

Ça m'ennuyait vraiment de ne pas pouvoir au moins la remercier de ne rien dire. J'avais accepté de rester loin d'elle, et je tenais parole, mais c'était plus difficile que je ne l'avais pensé. Après tout, j'étais assis près d'elle une heure entière cinq jours par semaine. Elle essaya de me parler le jour suivant ce qu'il s'était passé, mais j'avais simplement haussé les épaules, ne me donnant même pas la peine de la regarder. Elle n'essaya plus de me parler après ça. Mais elle continuait de me regarder. Je sentais son regard sur moi si souvent que ça commençait à en devenir un ennui.

Et pourtant, je voulais qu'elle me prête attention. Je voulais qu'elle soit affectée par ma présence de la même façon dont j'étais affecté par la sienne. J'avais besoin de savoir que je n'étais pas le seul à souffrir de notre séparation forcée, même si elle n'en avait aucune idée. D'une drôle de manière, ça aidait à alléger un peu la douleur de savoir qu'à un certain niveau, elle voulait plus de moi que je n'étais capable de donner. Ça aurait été trop pénible si elle avait pu m'ignorer et m'oublier complètement, autant que j'avais essayé, je ne pouvais pas l'oublier ou l'ignorer.

J'ai essayé. Vraiment. Je ne lui parlais pas du tout, même pas en biologie où c'était plus difficile. Je pouvais tenir une journée entière et ne pas laisser mon regard se poser sur elle une seule fois. J'ai même réussi à arrêter d'écouter ses conversations, mais ça ne se révélait pas si difficile étant donné que les pensées de ses amis me tapaient sur les nerfs. Il aurait été beaucoup plus difficile d'ignorer l'esprit de Bella, si j'avais été capable de l'entendre. Et pour ça, au moins, j'étais reconnaissant.

alors que j'étais tellement dans mes pensées je ne mettez pas rendus compte , qu'elle se tenais face a moi .

"Salut ...Bella "

(pv un peu long désolé ^^ )

Je devais la laisser à son avenir. Arrêter de risquer sa vie. C’était la bonne chose à faire.
Le soleil se leva derrière les nuages, et la faible lumière balaya l’herbe gelée.
Un jour de plus pensas-t-il .
Sa voix avait été agréable, amicale, aux antipodes de sa voix la dernière fois que je lui avais parlé. Pourquoi ? Que signifiait ce changement ? Avait-elle oublié ? Décidé qu'elle avait rêvé tout l'épisode ? Avait-elle vraiment pu me pardonner de ne pas avoir tenu ma promesse ? Les questions m'avaient brûlé la langue comme la soif qui m'attaquait chaque fois que je respirais.

 Juste un instant, que je puisse regarder dans ses yeux. Juste pour voir si je pouvais y lire les réponses…

-Je ... Je suis désolé, lui dis-je. (C'était plus vrai qu'elle le ne saurait jamais. Malheureusement, je ne pouvais m'excuser que pour les choses les moins importantes.) Je sais que je suis très malpoli envers toi. Mais c'est mieux ainsi, vraiment.

Je voulus lui dire que ça me dérangeait terriblement, mais je savais que je devrais faire cela de toute manière. Autant en finir. J'avais un personnage à endosser à partir de maintenant. Je connaissais déjà le rôle que je m’attribuerais – le pire possible : je serais le méchant. Je mentirais, serai cruel et la ridiculiserais.

 Cela allait contre mes meilleures impulsions– ces impulsions humaines que j’avais conservées toutes ces années. Je n’avais jamais eu autant envie de mériter sa confiance plus qu’en cet instant, alors que je m'apprêtais à en détruire toute possibilité.
C’est encore pire, sachant que ce serait le dernier souvenir qu’elle aurait de moi. C’était ma scène d’adieux.
Je me tournai vers elle.

- Que veux-tu exactement ? demandai-je froidement.



Mon hostilité la fit reculer. Ses yeux étaient perplexes, l’expression qui m’avait hanté…

Je ne pouvais pas lui dire la vérité, même si je le voulais… et je ne le voulais pas. Il valait mieux qu’elle s’invente une histoire bien à elle plutôt que de savoir ce que j'étais, parce que rien ne pourrait être pire que la vérité – j’étais un cauchemar vivant, tout droit tiré des pages d’un livre d’épouvante.


- … tu risques d'être déçue.


Nous nous toisâmes. Il était étrange de voir comme sa colère la rendait adorable. Comme un chaton furieux, doux et sans défense, si inconscient de sa propre vulnérabilité.
Elle rougit et grinça des dents encore.

En fait, j'avais trouvé une explication tout à fait valable. Supposons que je n'aie pas empêché la camionnette d'écraser la fille… J'eus un mouvement de recul à cette pensée. Mais si elle avait été percutée, si, gravement blessée, elle s'était mise à saigner, si son fluide rouge avait coulé, gâché, sur le sol, si l'odeur de son sang frais avait flotté dans l'air…
Je frémis à nouveau, mais pas seulement d'horreur. Une part en moi frémissait de désir. Non, je n'aurai pas été capable de la regarder saigner sans nous exposer d'une façon bien plus flagrante et choquante.

 C'était une excuse tout à fait plausible... mais je ne l'utiliserais pas. C'était trop honteux.
Et je n'y avais pensé que longtemps après les faits, de toute façon.

- Tu a due rêver bella ...

Elle me regarda, attendant ses réponses.

Pourquoi ne pas tout lui dire ? Après tout, elle avait deviné une grande partie, et c’était un sujet plus facile que celui qui allait suivre.



Eh bien, elle voulait que je sois direct. Et cette conversation ne menait à rien de toute façon.

- Très bien, tu l’auras voulu, dis-je. Angel ne t'a pas mentis .

e voulus regarder son visage, mais j’avais peur de ce que j’allais y voir. A la place, j’écoutai sa respiration s’accélérer puis se stabiliser. Elle parla de nouveau après un moment, et sa voix fut plus contrôlée que je ne l’aurais cru.


J’essayai de me concentrer sur ce moment, sur la fille à mes côtés, sur ce qui était réel et solide, Il était étrangement consolateur de savoir que je n’étais pas le seul à vivre une histoire d’amour tragique. Le chagrin amoureux était un sentiment universel. Je l’avais accusée d’être un aimant à danger. À cet instant, cela semblait vrai, littéralement. J’étais le danger, et son attraction se décuplait à chaque millimètre que je m'autorisais à supprimer entre nous.
Alors que tout se passa vite , Bella s'avança dans ma direction et trébucha sur un caillou .
Je me forçai à me retourner, à m'éloigner d’elle. Mon corps se raidit – avançant malgré lui.
L'appel du sang était trop tentant .
Je me mis en posture d'attaque et sauta sur Bella , plantant mes infimes canines dans sont cou , sont sang était si sucrée .C'était plus fort que moi , je me battais contre mon coté obscure .
Si je continuais a la liquider de sont sang elle mourras ,
Je lâcha prises , et mis ma main sur ma bouche , équerrée de se que je venais de faire a l'instant , je méritais qu'une chose , la sentence .

Tout s'arrêta autour de moi , il fallait que je la sauve , mais je ne pourrais me tenir face a sont sang si .... sucrées
Je secoué la tête , pour sortir ses pensées si désobligeants .Je m'approcha d'elle , tout en arrêtant de respirer , et souffla .

-Je suis si désolée Bella , je ne voulais pas .....

Je la pris dans mes bras , et partis vers la villa avec , j'avais trahi le traité fait avec les Quileutes , les conséquences allez être grave , Je couru de toute mes forces , Elle devait tenir , elle pouvait pas mourir , pas maintenant , je l'est déjà sauvé une fois de la mort , alors je referais si sa vie en dépendait .


(RP FINI , suite dans la villa des Cullen )

[OK !! Tu commences ?? ]