Discussion en cours de sciences [PV Edward]

Elle déclara que la lamelle était une prophase et commença à l'enlever. "Ca t'embête si je regarde?" demandai-je, et sans même réaliser ce que je faisais, je pris sa main.Chaude. Si chaude. Si tentante.
Merveilleuse.
J'éloigna rapidement ma main de la sienne, souffrant immédiatement du manqué de cette sensation et ne désirant rien d'autre que de la prendre encore et la garder toujours. Je brûlerai volontiers sous son toucher si elle me laissait faire. Je devais garder mes mains loin d'elle. Je ne pouvais pas me permettre de la toucher encore une fois, si minime soit le contact.
Essayant d'agir normalement après le contact, je regardai la lamelle et remarqua qu'elle avait raison. Je mis la seconde lamelle et su immédiatement que c'était une anaphase. Elle voulut vérifier mon diagnostic, ce qui me donna la vague impression de contestation, le fait qu'elle doute de mon habilité. Ce n'était pas souvent qu'un humain me contestait directement, et je fut surpris de m'apercevoir que j'aimais assez l'idée que Bella conteste mes connaissances.
Quand elle demanda la troisième lamelle, je la plaça soigneusement dans la paume de sa main, évitant un autre risque de contact avec la chaleur de sa peau. On travailla ainsi, chacun son tour, pour les cinq lamelles et on finit bien avant les autres tables. Je regardai l'horloge, préoccupé de ce que nous allions faire pendant le reste du cours.
Mon regard se dirigea vers elle encore, m'apercevant qu'elle avait l'air mal à l'aise, assise à côté de moi en silence. J'étais si agréablement surpris par ses dispositions. Elle ne s'était trompée sur aucun diagnostic, sans même prendre beaucoup de temps pour donner la réponse. Il devait y avoir plus d'intelligence en elle que dans n'importe quelle autre humain qu'elle fréquentait. Si seulement son esprit m'était ouvert, je pourrais voir à quel point elle est intelligente. J'entendrais ce qu'elle pense de moi. Je voudrais savoir quoi lui dire pour qu'elle se sente plus à l'aise.
Mais elle ne devrait pas être à l'aise avec moi. Ce serait trop dangereux pour elle de jamais se sentir bien près de moi.

Ses yeux captivants rencontrèrent les miens.

Je n'arretai pas de regarder Edward mais aujourd'hui, ses yeux avaient une teinte différente de la dernière fois. Et je ne l'expliquais pas le moins du monde. Forks me rendait peut-être folle, au sens propore du terme.

Baissant les yeux sur mon cahier, je commença à gribouiller, la tête dans mes pensées.
Je le regarda, surprise encorre une fois qu'il me parle car on aurait dit qu'il se forçait à faire la conversation.

On aurait dit qu'il avait suivit notre conversation avec Jessica à la cafétéria. Je détestais la neige, ainsi que l'humidité.

- Pas vraiment ! Je n'aime ni le froid, ni l'humidité !

Forks était vraiment mon pire cauchemar. Je détestais Forks ! Mes mots parurent le fasciner, ce qui me laissa sans voix. Son visage m'obsédait tellement que je devais m'interdire de le contempler plus que l'autorise la courtoisie.

Je le regarda et quand il me posa la question dont j'avais l'habitude, je répondis :

- Euh ... C'est compliqué !

Je ne dis rien pendant un long moment puis je commis l'erreur de croiser l'erreur de croiser son regard. Ces prunelles d'un or sombre me déstabilisèrent et c'est sans réfléchir que j'accepta de m'expliquer.

- Ma mère s'est remariée et j'ai décidée de venir vivre avec mon père à Forks.

Je perçus la voix de ma tristesse ce qui provoqua mon soupir. Il parraissait fasciner par ma pauvre vie et à la fois, pensif.
Pourquoi prenais-je la peine de lui expliquer ma vie. Après tout, je ne le connaissais pas. Mais, l'intensité de ses prunelles, face à sa curiosité me faisait parler.

Je savais que ma mère aurait préféré que je reste avec elle à Phoenix mais je ne voulais pas l'empêcher de voyager avec Phil. C'est donc, pour cette raison, que j'avais décidé de partir vivre avec Charlie enfin mon père, pour mieux apprendre à le connaître.

"Je devrais réussir à comprendre." Dis-je en espérant que je pourrais le faire. Je ne parvenais pas à me souvenir de la dernière conversation que j'avais eu avec qui que ce soit sans entendre ses pensées tandis qu'il parlait. Les humains disent rarement exactement ce qu'ils pensent. Ils censurent tellement de leurs pensées que c'en est pathétique.

Elle me parla de sa mère qui s'était remariée en septembre dernier. "Et tu ne l'apprécies pas." Concluais-je de la tristesse que j'entendais dans sa voix. Mais quand elle répondit en expliquant que son beau-père était jeune mais sympa, j'étais complètement confus. "Pourquoi n'es-tu pas restée avec eux?" demandai-je, curieux de résoudre ce petit puzzle qu'elle constituait pour moi.

Ca m'expliquait tout. "Et ta mère t'as expédiée ici afin de l'accompagner librement." Les humains pouvaient être des créatures impitoyables.[i]

Mais ce n'était pas tout. Il y avait quelque chose de plus en elle… tellement plus que la curiosité commençait à me consumer. J'avais besoin d'en savoir plus sur cette incroyable humaine. J'avais besoin d'entrer dans cet esprit et d'examiner comment il fonctionnait. C'était presque aussi fort que ma soif pour son sang. Elle était malheureuse ici, c'était clair. Mes yeux me disaient au moins ça. Pourtant elle semblait déterminée à dissiper ses sentiments.

Elle replongeais sont regard dans ses cahiers , j'avais l'impression qu'elle se méprenais elle même ,j'étais songeur , si Bella reste ici pour laisser sa mère voyager avec Phil , pourquoi se punit-elle elle même .Je posais mon regard sur Bella pendant quelque seconde qui paraissait une éternité .

"Je t'agace?"

Elle releva la tête ....


(désolé je ses pas trop quoi dire la .. mais sa venir ! )

Cela me fit faire un léger sourire quand il me répondis qu'il me trouvait dure à déchiffrer. Je m'exclama :

- Ahh bon !

M. Banner ordonna le silence et il reprit son cours, tellement ennuyeux. Je n'arriverais jamais à me concentrer avec mon partenaire de labo à côté de moi. Je ne me serais jamais ennuyer de le regarder. Il était si beau, un apollon tombé du ciel.

Je commença à écrire sur mon cachier et m'y ma main dans mes cheveux. Je le regarda discrétement quand je vis qu'il s'était éloigné le plus possible que la table le permettait.
Qu'est-ce-qu'il avait ? Je ne comprenais rien du tout décidemment. Pourquoi , il réagissait comme ça ?

Lorsque la porte retentit enfin, Edward partit comme l'autre jour aussi vif et gracieux. Et comme ce jour là, je le regardais s'éloigner avec stupeur.
Et comme d'habitude, Mike me rejoignit et nous partâmes tous les deux vers le cour de sport. Je détestais le sport car j'étais tellement maladroite ...

Je piqua un fard quand il me répondit que j'avais de la chance d'avoir Edward pour m'aider ! Cela me surpris et je lui répondis :

- L'excercice ne m'a posé aucun problème ! Je l'avais déjà fait auparavant.

Bref, Mike me parla encore, et je l'écouta à moitié. Mes pensées étaient dirigées que vers Edward qui m'obsédait toujours autant. Une fois, le coiur de sport terminé, je partis en direction de ma camionette et inspecta les alentours et vit qu'Edward Cullen s'appuyait contre sa voiture , à quelques mètres de moi en train de me fixer.

Je le regarda, puis grimpa dans ma voiture et sortit du parking. Je poussa un soupir de soulagement que cette journée soit enfin fini mais d'un côté, j'avais hâte de revoir Edward.

[La suite sur le parking ? ou autre part ? ]

(le parking on passe directement a la scéne ou tu va te faire écrasée ? non ?)

Oui !

Tu commences ?